Quand on regarde le ciel nocturne, la France n’est peut-être pas la première selected à laquelle on pense. Même ainsi, parmi les pays de l’OTAN, l’engagement du pays envers l’idée de l’espace en tant que domaine militaire pourrait sans doute être considéré comme le deuxième après les États-Unis. Aujourd’hui, le pays a conclu son premier exercice spatial militaire qui a duré du 8 au 12 mars. Baptisé “AsterX”, l’exercice rend hommage au satellite tv for pc français Astérix (plutôt qu’à la bande dessinée Gaule). En collaboration avec la Pressure spatiale américaine et l’armée allemande, le Commandement spatial français a organisé 18 événements simulés dans son quartier général de Toulouse.
La défense des satellites en orbite était au centre de l’exercice. Les événements simulés ont envisagé une variété de scénarios allant de la météo solaire dangereuse à l’utilisation d’armes anti-satellites lors d’une confrontation entre les grandes puissances mondiales.
Toulouse, où les exercices ont eu lieu, abrite le Commandement spatial français et a récemment été choisie comme website du nouveau centre d’excellence de l’OTAN axé sur l’espace, malgré les offres allemandes pour l’hébergement du centre.
La guerre spatiale devient de plus en plus un thème central pour les membres de l’OTAN et leurs adversaires potentiels. Outre la France et les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont travaillé à l’growth de leurs propres capacités spatiales. Les partenaires de l’OTAN comme la Corée et le Japon sont également sur la même web page. Une multitude de paperwork officiels de stratégie spatiale militaire ont déjà été publiés par les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et d’autres, certains plans appelant non seulement à la défense des actifs spatiaux, mais également au développement de capacités offensives, le plan français de lasers anti-satellite étant un exemple marquant.
Pendant ce temps, la nouvelle course à l’espace se réchauffe au-delà du domaine purement militaire. Mardi, le russe Roscosmos a rapporté qu’un mémorandum avait été signé par son chef et celui de l’Administration spatiale nationale chinoise concernant le développement d’une station de recherche lunaire. Ce idea reflète clairement des plans américains similaires dans le cadre du programme Artemis.