Le premier porte-avions de fabrication locale de l’Inde, le futur INS Vikrant, devrait commencer ce mois-ci les premiers essais du bassin pour ses équipements et systèmes après un retard preliminary causé par la pandémie de COVID-19, avec des essais en mer prévus pour décembre de cette année.
Le navire de guerre communément connu sous le nom de porte-avions autochtone 1 (IAC-1) devait initialement commencer les essais en mer au début de cette année, mais a ensuite été reporté pour commencer sa part d’essais en bassin en septembre. Si aucun autre retard ne se produit, l’IAC-1 devrait être mis en service dans la marine indienne d’ici la fin de l’année prochaine.
L’amiral Karambir Singh, chef d’état-major de la marine, a payé le chantier naval de Cochin à Kochi où l’IAC-1 est en cours de development lors de sa visite au quartier général du Commandement naval du Sud à la mi-septembre, où il a passé en revue les progrès du projet au milieu des tensions croissantes avec la Chine voisine.
Après avoir terminé ses essais portuaires en août, les essais en bassin testeront les systèmes de propulsion, de transmission et de transmission du futur INS Vikrant, selon des sources proches de son développement. Les responsables restent cependant silencieux sur ses progrès.
Le futur INS Vikrant a été désamarré en 2015, deux ans après son lancement en 2013 (photograph de la marine indienne)
Une autre trigger attainable de retard pourrait être un incident où des composants matériels informatiques installés sur l’IAC-1 dans le cadre de ses systèmes ont été volés en septembre. Les autorités ont arrêté deux suspects et récupéré 19 des 20 composants volés, mais n’ont pas commenté les motifs ou l’impression de l’incident sur la development du navire de guerre.
L’IAT-1 mesure 262 mètres (860 pieds) de lengthy et 60 mètres (200) de giant avec un déplacement d’environ 40 000 tonnes métriques. Il a une conception de pont STOBAR (Brief Take-Off, Barrier Arrested Restoration), avec une piste de saut à ski en pente. Cette conception lui permettra d’abriter des avions non VTOL (décollage et atterrissage verticaux), mais sera limité à des chasseurs plus légers tels que le MiG-29K, dont il est prévu d’en transporter jusqu’à trente, ainsi que 10 hélicoptères.
La poursuite par l’Inde de plus grandes capacités navales vise en partie à contrebalancer l’affect croissante de la Chine dans l’océan Indien, qui exploite désormais deux porte-avions, le troisième devant être achevé à peu près au même second que l’IAC-1. Le premier avion indigène chinois est entré en service l’année dernière alors qu’il était lancé cinq ans plus tard que son homologue indien, ce qui soulève des questions sur la capacité de l’Inde à produire et à entretenir avec succès le porte-avions.