Le 29 novembre, le MV Agisilaos, un chimiquier de 37 600 tpl, a été attaqué par des pirates au massive des côtes du Ghana, en Afrique de l’Ouest. Ils ont tiré sur le pont puis sont montés à bord du navire. Ils ont volé de l’argent et kidnappé quatre membres de l’équipage du navire. Le capitaine du navire aurait été blessé lors de l’attaque et le navire a depuis établi un mouillage sûr au massive de Lomé, au Togo.
L’motion est le 24e incident de ce kind en 2020 et fait du golfe de Guinée le level chaud de la piraterie de cette année. Les enlèvements d’équipages contre rançon ont considérablement augmenté, ce dernier acte portant le nombre de personnes prises cette année actuellement à 122, soit une augmentation de 40 % par rapport à 2019.
Golfe de Guinée (by way of Useful Transport Information)
La scenario contraste fortement avec celle de l’autre côté du continent. La piraterie au massive des côtes de la Somalie dans la mer Rouge est bien connue dans l’opinion publique, notamment avec la publicité autour du capitaine Phillips du Maersk Alabama et le movie réalisé sur son histoire. Mais avec une forte présence internationale qui protège désormais les eaux de la mer Rouge, il n’y a pas eu d’attaque depuis 2018.
Vidéo des Forces maritimes combinées
Dans le golfe de Guinée, les forces navales locales ont tenté de faire face à la scenario, mais sont sous-financées et mal équipées. Les États-Unis ont fait don d’un sure nombre de petites embarcations de patrouille aux nations de la région. Mais compte tenu de la taille de la zone et du quantity de trafic, ils sont insuffisants.
Un patrouilleur de classe Defender offert par les États-Unis et exploité par la Marine nationale du Togo (ambassade des États-Unis au Togo)
Maintenant, l’industrie du transport maritime demande que des mesures plus importantes soient prises dans le golfe de Guinée par la communauté internationale pour protéger le grand nombre de navires qui utilisent et transitent dans la région ; idéalement quelque selected de similaire aux actions qui ont fait leurs preuves en Mer Rouge. Peut-être que les Forces maritimes combinées internationales, composées de 33 nations participantes, étendront leurs efforts au golfe de Guinée. Une telle motion nécessiterait cependant un plus grand intérêt pour la région, ce qui fait actuellement défaut.