Airbus Helicopters a présenté une maquette de l’hélicoptère H160M lancé pour le programme français d’hélicoptères légers interarmées (Hélicoptère Interarmées Léger – HIL) alors que la ministre française des Armées, Florance Parly, a annoncé que le programme serait avancé d’un an.
Airbus a remporté le programme HIL en 2017, avec son modèle civil H160, dont la model militarisée – surnommée Guépard (“Cheetah”) – a maintenant été révélée par le ministre Parly au siège d’Airbus Helicopters à Marignane, dans le sud de la France.
Simultanément, le programme HIL a été avancé d’un an, révisant le lancement prévu de 2022 à 2021, avec les premières livraisons prévues en 2026. Lors de l’annonce, Parly a déclaré que «l’introduction rapide du H160M permettra aux forces armées du pays de conserver leur avantage sur les adversaires. .” Ajoutant à cela, elle a décrit l’hélicoptère comme “polyvalent, moderne et incroyablement rapide”, et a confirmé qu’il ferait une apparition au célèbre salon du Bourget le mois prochain.
Maquette grandeur nature du H160M au siège d’Airbus Helicopters (Eric Raz pour Airbus Helicopters)
L’ambitieux programme HIL vise à remplacer cinq sorts d’hélicoptères actuellement en service dans l’armée de terre, l’armée de l’air et la marine française par un seul, le H160M précédemment sélectionné.
Au complete, 420 appareils doivent être remplacés, allant de l’Alouette III introduit en 1960 au Fennec de l’Armée de l’Air introduit en 1990. La commande du programme porte sur 169 appareils, 80 pour l’Armée de terre, 49 pour la Marine et 40 pour la power aérienne.
Infographie du H160M pour les companies français (Airbus Helicopters)
Le H160M doit être modulaire avec des équipements pour un giant éventail de missions et de tâches, y compris la recherche et le sauvetage, la surveillance du renseignement, l’appui aérien rapproché, les opérations anti-navires et l’interception aérienne.
Pour effectuer toutes les tâches requises, les nombreuses variations nécessitent de nombreuses capacités. Certains doivent être capables de ravitailler en vol à la fois le KC-130 et l’A400M à l’aide d’une sonde, ces systèmes à utiliser dans des rôles d’appui aérien rapproché doivent être équipés d’un canon de 20 mm et de roquettes guidées. Alors que l’armée de l’air française cherche à intégrer un canon de 7,62 mm piloté pour intercepter les avions légers et les drones, elle discover également l’utilisation de tireurs d’élite embarqués si cela s’avère trop difficile.