SpaceX et ULA sous contrat pour lancer des satellites de sécurité nationale

SpaceX et ULA sous contrat pour lancer des satellites de sécurité nationale

Le House and Missile Methods Middle de l’US Air Drive a choisi SpaceX et United Launch Alliance (ULA) pour un contrat de cinq ans afin de continuer à fournir des providers de lancement de satellites de sécurité nationale pour les providers des forces armées et les agences de renseignement américaines. Les deux contrats attribués valent respectivement 316 hundreds of thousands de {dollars} et 337 hundreds of thousands de {dollars}.

Les deux sociétés en place ont battu Blue Origin et Northrop Grumman dans le cadre de l’approvisionnement en providers de lancement à quatre voies pour la deuxième part du lancement de l’espace de sécurité nationale. Les contrats à prix fixe ferme et à livraison indéterminée couvrent les lancements prévus entre les exercices 2022 à 2027.

Au cours de cette période de cinq ans, House Exploration Applied sciences Corp. (SpaceX) et la coentreprise de Boeing et Lockhead Martin, ULA, lanceront un nombre combiné estimé de 34 missions pour le ministère de la Défense (DoD) et le Nationwide Reconnaissance Workplace. Environ 60 % des lancements seront orchestrés par ULA et les 40 % restants par SpaceX. Cependant, l’armée de l’air insiste pour ne pas s’engager sur un nombre défini de lancements et qu’en fonction de considérations budgétaires et stratégiques, le nombre de lancements pourrait être modifié sur une base annuelle.

ULA et SpaceX ont été les principaux fournisseurs des missions spatiales de sécurité nationale, le secteur le plus rentable de l’industrie spatiale. Un seul lancement peut coûter jusqu’à 100 hundreds of thousands de {dollars}, et les deux sociétés ont obtenu plus de 12 milliards de {dollars} de contrats par l’armée américaine entre les années 2012 et 2019 seulement.

Un Atlas V 551 est lancé depuis la rampe de lancement 41 à Cap Canaveral (NASA/Kim Shiflett)

“Les récompenses d’aujourd’hui marquent une nouvelle ère de lancement spatial qui va enfin faire passer le ministère de la Défense des moteurs russes RD-180”, a déclaré Will Roper, secrétaire adjoint de l’Air Drive pour l’acquisition, la technologie et la logistique.

Les contrats nouvellement signés interviennent alors que le Pentagone s’efforce de mettre fin à sa dépendance à l’égard de la fusée Atlas 5 d’ULA en raison de l’interdiction de son moteur RD-180 d’origine russe. D’ici la fin de 2022, le DoD ne pourra plus acheter de lancements d’Atlas 5.