Le Département d’État a approuvé une future vente de missiles SM-6 Block I et SM-2 Block IIIC à l’Australie. Bien que le contenu de l’accord n’ait pas encore été finalisé, il vaut actuellement environ 350 hundreds of thousands de {dollars}. L’accord a été approuvé le 25 à la suite d’une demande d’achat du gouvernement australien. Bien que le communiqué de presse n’inclue pas le nombre complete de missiles dans l’accord, un achat similaire de 100 missiles SM-2 Block IIIC par le Canada valait 500 hundreds of thousands de {dollars}. L’achat canadien comprenait également des cartouches pour lancer les missiles.
Le destroyer lance-missiles de la classe Arleigh Burke USS John S. McCain (DDG 56) lance un missile normal (SM) 2 au cours d’un exercice de missiles. John S. McCain est affecté à la Power opérationnelle 71/DESRON 15, le plus grand DESRON déployé à l’avant de la Marine et la principale drive de floor de la 7e flotte américaine. (Picture de l’US Navy par le spécialiste de la communication de masse 1re classe Jeremy Graham)
L’Australie deviendra le deuxième shopper FMS (International Navy Sale) à acheter la dernière model du Normal Missile 2 (SM-2) Block IIIC. Le premier pays FMS étant le Canada, qui a demandé l’achat en novembre 2020. Les deux pays achètent les missiles pour équiper leur dernière classe de combattants de floor, la classe Hunter de la Royal Australian Navy et le Canadian Floor Combatant de la Marine royale canadienne. Les deux navires sont basés sur la frégate Sort 26 de la Royal Navy.
Le missile anti-aérien SM-2 Block IIIC améliore son prédécesseur, le SM-2 Block IIIB, en supprimant le chercheur infrarouge sur le missile et en remplaçant le chercheur de radar semi-actif (SARH) par un nouveau radar actif Homing (ARH) un. Cette nouvelle mise à niveau permet au missile de rechercher des cibles en utilisant son propre éclairage généré par le chercheur à bord du missile. Les missiles plus anciens nécessiteraient un radar dédié à bord du navire pour éclairer la cible du missile. NAVSEA a attribué à Raytheon un contrat à fournisseur distinctive d’une valeur de 149 hundreds of thousands de {dollars} en 2017 pour le SM-2 Block IIIC. Le contrat portait sur l’ingénierie, la fabrication et le développement du missile ainsi que sur la transition vers les cycles de manufacturing initiale à faible débit (LRIP).
Le destroyer lance-missiles de classe Arleigh-Burke USS John Paul Jones (DDG 53) lance un missile standard-6 (SM-6) lors d’un check de tir réel du système d’armes d’égide du navire. Au cours de trois jours, l’équipage de John Paul Jones a engagé avec succès six cibles, tirant un complete de cinq missiles, dont quatre modèles SM-6 et un modèle Normal Missile-2 (SM-2). (Picture de la marine américaine/libérés)
L’achat marque également la toute première vente militaire à l’étranger du missile SM-6 Block I. Entré en service en 2013 dans l’US Navy, le missile SM-6 est le missile anti-aérien (AAW) à longue portée de l’US Navy. Les variations ultérieures du missile ont été adaptées pour la défense antimissile balistique, permettant au missile de servir de successeur à la fois au SM-2 Block IV et au Block IVA. L’achat du SM-6 Block I donnera à la Royal Australian Navy un missile de guerre anti-aérienne avec une portée plus longue que tous ses missiles actuellement déployés, permettant à ses destroyers d’avoir une capacité de défense de théâtre. Cette capacité permet aux destroyers d’engager des menaces beaucoup plus loin qu’ils ne le pourraient avec d’autres missiles normal. Pour ce faire, le SM-6 tire parti des capacités de détection du F-35 Joint Strike Fighter, ce qui lui permet de frapper des cibles au-dessus de l’horizon.
Cet achat fait suite à un nombre similaire d’achats d’armes avancées effectués par les Forces de défense australiennes ces dernières années. Ces achats font partie d’un effort plus giant visant à augmenter les dépenses de défense et les systèmes capables de terrain dans la Power de défense australienne. En juillet 2020, le Premier ministre australien Scott Morrison a annoncé un engagement à dépenser 270 milliards de {dollars} au cours de la prochaine décennie pour la défense. Cette décision vise à renforcer les Forces de défense australiennes afin qu’elles puissent suivre le rythme des menaces croissantes dans la région indo-pacifique.