La France va retirer ses troupes de la région du Sahel

La France va retirer ses troupes de la région du Sahel

Aidés par le chaos de la guerre civile libyenne, les groupes islamistes ont réalisé des good points significatifs dans le nord du Mali au cours de l’année 2013. Les Français ont réagi rapidement et ont rapidement dépêché une drive combattante qui a contribué à rétablir le contrôle du gouvernement. À l’été 2014, les islamistes ne détenaient plus aucun territoire dans le pays mais restaient une menace lively.

Pour Paris, ce courtroom épisode a montré à quel level le soutien worldwide est necessary pour le maintien de la stabilité et la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel. En conséquence, les Français ont maintenu une présence régionale importante qui est passée à plus de 5 000 soldats cette année. Cependant, un sure nombre d’organes de presse, dont Aljazeera, ont rapporté que le gouvernement français prévoyait de réduire ce chiffre de quelques centaines.

L’engagement militaire français fait l’objet d’une surveillance accrue dans le pays. Une cinquantaine de soldats français ont été tués depuis 2013 et alors que l’affect de l’État islamique dans le Grand Sahara (ISGS) avait été considérablement réduite, la focus de la France et de son allié africain sur l’ISGS avait permis à d’autres groupes comme al-Qaïda -lié
Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans ou GSIM. La France et le Mali se sont également affrontés sur l’ouverture ou non d’un dialogue avec les djihadistes, les Français s’opposant fermement à une telle démarche.

Les troupes estoniennes arrivent au Sahel, accueillies par le contingent français native. (MoD estonien)

Malgré cela, il serait imprudent de voir dans le changement de présence militaire française le signe que la France met fin à son engagement en faveur de la sécurité en Afrique subsaharienne. Les Français ont réussi à obtenir des engagements de troupes des alliés européens. Les Britanniques et les Estoniens ont déjà envoyé une centaine de soldats chacun qui coopèrent étroitement avec les forces locales et françaises. Des contingents suédois et italien de 150 et 200 hommes respectivement sont également attendus ; le premier à arriver début 2021 et le second à une date non précisée.

En outre, un éventail beaucoup plus giant de pays européens ont promis en mars d’envoyer des forces spéciales dans la région. Ainsi, bien qu’il n’y ait toujours pas d’informations officielles sur la réduction des effectifs prévue, il semble que la France espère simplement alléger le fardeau qui s’impose à elle-même plutôt que de renoncer à son engagement dans la région.