L’ambassadrice d’Aotearoa Nouvelle-Zélande aux États-Unis, SE Rosemary Banks, a récemment assisté à une cérémonie de pose de la quille du deuxième avion néo-zélandais P-8A Poseidon au Kansas. Dans la même set up à Whitka, l’ambassadeur a également vu le fuselage du premier avion néo-zélandais, alors qu’il attendait d’être transporté à Seattle pour être équipé. La Royal New Zealand Air Drive (RNZAF) retire actuellement sa flotte Orion avant le début des opérations nationales de Poseidon en décembre de cette année.
Un rendu d’un P-8A en service avec la RNZAF. (Boing)
Le lancement de l’opération Poséidon dépend de bien plus que le easy acheminement des avions eux-mêmes vers la Nouvelle-Zélande. Depuis 2018, date à laquelle la Nouvelle-Zélande a officiellement signé pour l’avion, elle développe l’infrastructure nécessaire à la nouvelle base du 5e Escadron à RNZAF Ohakea. Le 5e Escadron RNZAF, qui pilote le P-3K2 Orion depuis la RNZAF Auckland, est actuellement transféré à la RNZAF Ohakea pour s’adapter au changement. Le nouvel association de base a été rendu nécessaire par le poids et la taille plus importants du Poséidon, par rapport à l’Orion.
Le commodore Andrew Brown signe la quille du 2e P-8A néo-zélandais
Poséidon lors d’une cérémonie au Kansas. (NZDF)
La Nouvelle-Zélande a également travaillé sur l’élément humain de la transition. Un équipage de conduite de la RNZAF s’est qualifié sur le Poseidon l’année dernière et agit maintenant en tant qu’instructeur avec la United States Navy (USN). Des équipes de upkeep et au sol ont également été affectées en Australie, où elles ont pu acquérir de l’expérience sur la plate-forme, que l’Australie exploite de plus en plus pour une grande variété de missions.
La RNZAF a, au second de la rédaction de cet article, retiré deux des six Orions. Les quatre autres continuent d’effectuer des missions critiques en soutien aux pays du Pacifique tels que les Tonga.