Le Corps des Marines des États-Unis (USMC) est sur le level d’entreprendre le plus grand changement organisationnel et doctrinal de son histoire. Les menaces des pairs étant le scénario de conflit futur de plus en plus possible, le Corps optimise sa construction pour répondre aux besoins de la stratégie de défense nationale des États-Unis, qui se concentre sur la concurrence entre les grandes puissances plutôt que sur les deux dernières décennies de guerres contre-insurrectionnelles. Les changements devraient être en place d’ici 2030.
Les armures lourdes seront coupées ainsi que les bataillons d’infanterie. En fait, d’ici 2030, le Corps vise « … le désinvestissement complet des bataillons d’utility de la loi, des bataillons de chars et des spécialités professionnelles militaires (MOS) associées, et de toutes les sociétés de transition. De plus, le Corps réduira le nombre de bataillons d’infanterie de 24 à 21 ; batteries de canons d’artillerie de 21 à 5 ; compagnies de véhicules amphibies de 6 à 4 ; et réduire l’inclinaison du rotor, les escadrons d’attaque et de transport lourd. Les escadrons USMC F-35B et F-35C passeront de 16 appareils à dix.
Ce nouveau idea d’opérations verra le Corps opérer plus étroitement avec la Marine que jamais auparavant. Les éléments marins seront intégrés de manière transparente dans le plan de bataille plus giant de la guerre expéditionnaire navale avec des unités de missiles terrestres utilisées pour engager les flottes ennemies qui sont «parsemées» dans des zones de mise à mort par la marine. Les unités marines pourront se déployer et se redéployer rapidement sur les îles ou les zones littorales pour frapper les navires ennemis.
L’objectif est d’avoir trois Marine Littoral Regiments (MLR) debout d’ici 2030 équipés et entraînés pour le contrôle de la mer et la lutte contre le refus de la mer, fermant les voies maritimes à la flotte chinoise. Les MLR opéreront probablement dans de petits éléments de tâche autour des îles du Pacifique, en se concentrant sur la mer de Chine méridionale, en établissant des opérations de base expéditionnaires avancées pour refuser la liberté de manœuvre à la marine de l’APL. Les MLR seront soutenus par trois unités expéditionnaires maritimes (MEU) capables de se déployer dans le monde entier.
ROGUE-Fires (Avec l’aimable autorisation d’Oshkosh)
Les principales capacités des MLR seront à la fois les systèmes aériens sans pilote (principalement pour soutenir les incendies à longue portée) et les missiles anti-navires basés au sol. Une demande de proposition récente (21 février 2020) émise par les Marines recherche des plates-formes sans pilote à moyenne portée/moyenne endurance (MR/ME) et à longue portée/longue endurance (LR/LE).
Un témoignage devant la fee des forces armées du Sénat a noté l’exigence intégrale d’une capacité anti-navire : “Une capacité de missile anti-navire basée au sol fournira des tirs anti-navire depuis la terre dans le cadre d’une campagne intégrée de guerre anti-surface navale. Cette capacité de survie déployée à l’avant renforcera la létalité de nos forces navales et contribuera à empêcher nos adversaires d’utiliser un terrain maritime clé.
Les Marines utiliseront le Navy Marine Expeditionary Ship Interdiction System (NMESIS) avec une variante lancée au sol du missile de croisière Tomahawk connu sous le nom de Floor-Primarily based Anti-Ship Missile (GBASM). Le GBASM sera lancé à partir d’une unité terrestre télécommandée sans pilote basée sur Oshkosh JLTV pour les tirs expéditionnaires (ROGUE-Fires). Les plates-formes existantes du système de fusée d’artillerie à haute mobilité (HIMARS) s’avéreront également cruciales, le Corps poursuivant activement un idea connu sous le nom d’infiltration rapide HIMARS, ou HI-RAIN, qui verrait l’air HIMARS transporté dans une zone contestée et menant une mission d’incendie avant d’être rapidement exfiltré. à nouveau par voie aérienne.