Mise à jour des allégations de crimes de guerre du SASR

Mise à jour des allégations de crimes de guerre du SASR

UN l’ancien sous-officier du Particular Air Service Regiment (SASR) australien est devenu le premier à être inculpé d’infractions liées à des crimes de guerre. La date d’viewers du sous-officier est fixée au 11 juin.

Le soldat, qui ne peut actuellement pas être nommé et doit être appelé Personne X en raison d’une ordonnance de suppression du tribunal, a été arrêté à Sydney le mercredi 27 avril et inculpé de deux infractions graves par les enquêteurs de la police fédérale australienne (AFP), à savoir, ” Obstruer/gêner/intimider/résister à un fonctionnaire du Commonwealth » et « causer du tort à un officier de justice du Commonwealth ».

Les accusations concernent un incident au cours duquel des enquêteurs de l’OSI (Bureau de l’enquêteur spécial, l’unité spécialisée dans les crimes de guerre créée pour enquêter sur les allégations contre le personnel des ADF en Afghanistan) auraient été attaqués par la personne X dans une chambre d’hôtel lors d’un entretien. La personne X a comparu devant le tribunal native central et a reçu une warning lui permettant de retourner aux États-Unis où il réside actuellement, bien qu’il soit légalement tenu de retourner à Sydney pour sa date d’viewers.

Plus tôt cette semaine, la personne X avait témoigné dans une motion en diffamation initiée par l’ancien caporal Ben Roberts Smith du SASR, où on lui avait attribué le pseudonyme de la personne 5. Au cours de son témoignage, il est apparu que la personne X était le commandant de patrouille de Roberts Smith lors d’un sure nombre d’opérations dans Afghanistan qui font actuellement l’objet d’une enquête de l’AFP et de l’OSI concernant des allégations d’exécutions extrajudiciaires de détenus et de civils par des opérateurs du SASR.

Des photographs fixes de la caméra du casque SASR montrent l’homme afghan maîtrisé par le chien d’assaut de fight. quelques instants avant qu’il ne soit abattu par l’éclaireur montré à gauche de l’écran

L’OSI a été critiquée pour la lenteur apparente de ses enquêtes et pour le fait qu’aucun ancien membre ou membre actif n’a encore été inculpé de crimes de guerre réels malgré au moins un incident filmé par une caméra de casque (un incident signalé par Overt Defence il y a plus de deux ans ).

Chris Moraitis, directeur général de l’OSI, a noté plus tôt cette année ; “… nous ne pouvons pas parler de détails opérationnels ou indiquer exactement combien de temps prendra notre travail, mais nous nous engageons à mener ces enquêtes aussi rapidement que potential et à garantir que notre travail est effectué avec intégrité.” L’affaire de diffamation de la “Personne 5” est désormais entre les mains du juge après que les plaidoiries finales ont été entendues le 3 juin. Une décision est attendue courant juillet 2022.