On peut espérer une cessation des hostilités à la frontière orientale de la République démocratique du Congo, où les forces gouvernementales combattent un groupe rebelle renaissant connu sous le nom de mouvement du 23 mars (M23). Les dirigeants de plusieurs pays d’Afrique centrale se sont réunis à Luanda, en Angola, pour un sommet visant à négocier un cessez-le-feu au conflit, qui a pris effet à 18 heures, heure locale, le vendredi 25 novembre. Les signataires de l’accord comprenaient les cooks d’État de la RD Congo, de l’Angola , Burundi, Rwanda et l’ancien président Uhuru Kenyatta. Une déclaration publiée après le sommet exige le retrait des forces rebelles des récents positive aspects territoriaux, déclarant : « Si le M23 refuse de se désengager et de libérer tout le territoire qu’il détient actuellement, les… cooks d’État donneront l’ordre aux forces régionales de faire pression sur elles pour qu’elles se soumettent ». Il est à noter que le président rwandais Paul Kagame a donné sa signature, mais a envoyé son ministre des Affaires étrangères à sa place lors des pourparlers.
Le cessez-le-feu fait suite aux avancées rapides du M23 visant la ville frontalière congolaise de Goma, dont le groupe s’était emparé une décennie auparavant lors d’une offensive similaire. Repoussé par une combinaison de troupes congolaises et de casques bleus de l’ONU, le groupe ne semble pas intimidé en tentant de reprendre la ville. Cela s’avérerait difficile automotive les troupes de la Communauté de l’Afrique de l’Est renforcent les forces de maintien de la paix, dont plus de 700 soldats kenyans.
Des soldats de la Drive de défense kenyane sont accueillis par un officier des Forces armées de la République démocratique du Congo tout en portant le drapeau de la Communauté de l’Afrique de l’Est. (Photograph des forces de défense kenyanes)
Après une première déclaration du M23 indiquant qu’il n’était pas concerné par le cessez-le-feu, le chef du M23, Bertrand Bisimwa, a lancé vendredi un appel au dialogue direct avec le gouvernement de la RDC en déclarant que « le M23 respecte le cessez-le-feu tel que recommandé par les cooks d’État”. Malgré cela, le groupe a indiqué une réticence à se retirer des zones qu’il a déjà prises ou à désarmer. Cela n’aidera probablement pas l’appel du groupe automotive le gouvernement les a désignés comme un « groupe terroriste ». Pendant ce temps, les citoyens congolais de Goma ont exprimé leur mécontentement face au cessez-le-feu, estimant qu’il n’allait pas assez loin dans l’software du retrait du M23.