Les 12 et 13 février, les ministres de la défense des États membres de l’OTAN se sont réunis à Bruxelles, en Belgique. Les ministres ont convenu de maintenir energetic la mission de l’OTAN en Irak à situation que le gouvernement irakien l’approuve. La mission de formation de l’OTAN en Irak (NTM-I) est classée comme une « mission de soutien de la paix », elle comprend la formation des forces locales par des unités de l’OTAN. Le however de cette mission est de reconstruire les forces armées irakiennes, usées par leur fight contre l’Etat islamique et d’empêcher également la réémergence de l’Etat islamique.
Au cours du sommet, le secrétaire général Jens Stoltenberg a accepté les propositions des ministres présents sur la manière d’améliorer la mission de l’OTAN en Irak pour empêcher la réémergence éventuelle de l’Etat islamique.
Un autre problème majeur était les missiles de croisière à portée intermédiaire déployés par la Russie ; ces systèmes ont la portée de presque menacer toutes les capitales européennes. En outre, les ministres ont évalué les progrès enregistrés dans le cadre de l’initiative de préparation de l’OTAN.
Réunion des ministres de la Défense de l’OTAN, Bruxelles, 12-13 février 2020 (OTAN)
Les ministres du Royaume-Uni, du Danemark, de la Finlande, de l’Estonie, de la Lettonie, de la Lituanie, des Pays-Bas et de la Norvège ont également approuvé la déclaration de préparation des forces expéditionnaires conjointes (JEF). La JEF est une pressure de réaction rapide qui peut servir dans le cadre de l’OTAN, de l’ONU ou de l’Union européenne. JEF est une formation au niveau de la brigade avec la capacité d’opérer sur une grande variété de missions telles que; aide humanitaire, dissuasion, résilience, fight direct.
Alors que la fonctionnalité de l’OTAN est discutée et remise en query par certains membres, elle représente toujours une pressure de dissuasion puissante. Alors qu’il y a relativement peu de menaces conventionnelles contre l’Europe ; L’OTAN doit encore faire face à la menace hybride posée par les actions russes potentielles. Le meilleur exemple étant l’annexion illégale de la Crimée ; au cours de laquelle la Russie a pratiqué un mélange de tactiques conventionnelles et non conventionnelles. Les plus efficaces de ces tactiques non conventionnelles étaient les « opérations d’data » de la Russie, considérées comme une menace importante pour l’Europe. En conséquence, l’OTAN essaie de s’adapter pour faire face à ces menaces et la dissuasion des menaces conventionnelles et hybrides contre l’Europe serait certainement plus facile si l’OTAN continuait à diriger les efforts.