Les allégations de crimes de guerre hantent les forces spéciales britanniques

Les allégations de crimes de guerre hantent les forces spéciales britanniques

Un récent rapport conjoint de l’équipe d’enquête britannique Sunday Instances’ Insights et de Panorama de la BBC TV allègue que les forces spéciales britanniques (UKSF) pourraient avoir commis une série de crimes de guerre en Afghanistan. Le rapport cite des e-mails internes de l’UKSF soulevant des factors d’interrogation sur le nombre d ‘«ennemis» morts lors d’opérations en 2011.

Un e-mail qui semble provenir d’un ancien commandant du Particular Boat Service (SBS), au second de la rédaction de cet article, probablement membre du personnel de la Course des forces spéciales, a été adressé à son supérieur, sans nom mais probablement le directeur des forces spéciales (DSF), qui a la responsabilité globale de tous les elements des opérations spéciales militaires britanniques.

Il a noté les préoccupations soulevées par le personnel du SBS au sujet des activités du Particular Air Service (SAS) en Afghanistan, notamment le nombre d’ennemis tués au fight (EKIA) par rapport au nombre d’armes récupérées lors des opérations et une tendance inquiétante qui a vu les habitants afghans qui ont été persuadés de guider le des équipes d’assaut à travers leurs enceintes, apparemment pour réduire les risques et indiquer tout engin explosif improvisé (EEI) tué lorsqu’ils ont inexplicablement sorti des armes ou produit des grenades.

L’auteur du courriel s’est demandé s’il y avait « … une politique délibérée au sein de l’Escadron actuel [squadron] engager et tuer sur cible des hommes en âge de se battre même lorsqu’ils ne constituaient pas une menace ». Il a en outre noté que les activités des membres du SAS pouvaient constituer un “comportement indéfendable” ou des actions “criminelles”.

La correspondance est difficulty d’un procès intenté par un Afghan du nom de Saifullah Yar, survivant d’une de ces opérations dans le sud de l’Helmand le 16 février 2011, au cours de laquelle quatre membres de sa famille sont morts aux mains de l’UKSF. Tous auraient été désarmés à l’époque. Le matériel avait auparavant été retenu, potentiellement illégalement, par des avocats du gouvernement britannique. Le juge de la Haute Cour dans l’affaire en cours a adressé un “veuillez expliquer” au secrétaire à la Défense Ben Wallace.

Les meurtres avaient mis à impolite épreuve les relations avec les unités partenaires afghanes (APU) qui opéraient aux côtés de l’UKSF. Dans le cas de l’opération de février 2011, des membres de la Activity Power d’élite 444 ont temporairement refusé d’accompagner l’UKSF dans d’autres missions, leur commandant affirmant « … que 2 hommes ont été abattus en essayant de s’enfuir et que les 2 autres hommes ont été « assassinés ». sur la cible alors qu’ils avaient déjà été arrêtés et fouillés.

Le plus accablant est «l’amnésie collective» de tous les membres badgés et du personnel de soutien lorsqu’ils sont interrogés sur les détails de l’opération par la Police militaire royale (RMP) – tous ont affirmé ne pas être en mesure de se memento des détails de la mission. La propre enquête du RMP sur les crimes de guerre présumés de l’UKSF, l’opération Northmoor, a été clôturée sans aucune poursuite sous la pression du ministère de la Défense. Les allégations surviennent à un second où les actions et le comportement de diverses unités des forces d’opérations spéciales sont de plus en plus surveillés.