Le 11 octobre, à la suite d’entretiens entre le ministre japonais des Affaires étrangères Yoshimasa Hayashi et leur homologue canadienne Melanie Joly, Ottawa et Tokyo ont annoncé un nouveau « Plan d’motion Japon-Canada » visant à concrétiser le idea d’Indo-Pacifique libre et ouvert et à fournir un cadre pour l’avenir. coopération entre les deux nations.
Selon Hayashi :
« Le Japon, de live performance avec le Canada, jouera un rôle de premier plan pour relever le défi stratégique le plus necessary de la communauté internationale en vue d’assurer la paix et la prospérité dans la région indo-pacifique.
Aujourd’hui, la ministre Joly a rencontré son homologue japonais, le ministre Hayashi Yoshimasa @MofaJapan_en
Ils ont annoncé un plan d’motion ambitieux pour faire avancer les priorités communes du Canada et du Japon pour une région indo-pacifique libre et ouverte. pic.twitter.com/Iy7ltsmZWs
— Politique étrangère CAN (@CanadaFP) 11 octobre 2022
L’un des points les plus remarquables de ce plan est une imaginative and prescient de la mise en œuvre du partage de renseignements entre le Canada et le Japon. Le Japon a déjà conclu des accords bilatéraux de partage de renseignements avec l’Australie, la France, l’Inde, l’Italie, l’Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis. Si les pourparlers débouchent sur un accord similaire avec le Canada, cela signifierait que le Japon aurait des accords bilatéraux avec tous les membres du Traité des Cinq Yeux, à l’exception de la Nouvelle-Zélande (les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande sont actuellement membres des « Cinq Yeux »).
Le Japon a exprimé son intérêt à devenir le «sixième œil» des partenaires des Cinq yeux en 2020 et une coopération plus étroite avec le Canada l’aidera certainement à se rapprocher de cet objectif. Cependant, l’adhésion est vulnerable de rester insaisissable. Tout d’abord, le Japon souffrirait probablement de barrières culturelles et linguistiques non applicables aux membres actuels. Deuxièmement, le renseignement japonais souffre de graves problèmes tels que l’absence d’un système d’habilitation de sécurité rigoureux et de fortes contraintes juridiques sur ses capacités. C’est en grande partie le résultat de sa structure pacifiste et de sa politique d’après-guerre, bien que même pendant et avant la Seconde Guerre mondiale, les companies de renseignement japonais n’étaient pas de premier ordre.
Aujourd’hui, la ministre Joly a rencontré le ministre japonais de la Transformation numérique, @Konotaromp. Ils ont discuté de la menace que représente la désinformation pour les démocraties du monde entier et de la manière dont nous pouvons travailler ensemble pour la contrer. pic.twitter.com/5GJE3OfxFv
— International Coverage CAN (@CanadaFP) 12 octobre 2022 Le ministre canadien des Affaires étrangères Joly s’est également entretenu avec des représentants d’autres ministères japonais.
La rencontre de mardi entre Joly et Hayashi a également abordé un sure nombre d’autres questions. Les ministres ont condamné les récents lancements de missiles de la Corée du Nord, réitéré l’illégalité des référendums fictifs de la Russie en Ukraine et exprimé leur inquiétude concernant d’éventuelles tentatives chinoises de résoudre unilatéralement les désaccords en mer de Chine méridionale et en mer de Chine orientale. Un accent particulier a été mis sur l’significance de coordonner les réponses des membres du G7.