L’ancien combattant canadien suggère l’euthanasie aux vétérans qui demandent de l’aide pour leur SSPT

L’ancien combattant canadien suggère l’euthanasie aux vétérans qui demandent de l’aide pour leur SSPT

Un vétéran canadien souffrant de hassle de stress post-traumatique (TSPT) et d’un traumatisme crânien (TCC) subi pendant son service militaire a appelé Anciens Combattants Canada (ACC) plus tôt ce mois-ci afin de demander des choices de traitement. En réponse à leur demande, un employé d’ACC a suggéré d’examiner l’aide médicale à mourir (AMM).

L’ancien combattant perturbé a déclaré plus tard à la presse canadienne que l’employé continuait d’évoquer l’possibility à plusieurs reprises malgré qu’on lui ait demandé à plusieurs reprises d’arrêter de suggérer l’euthanasie. L’ancien combattant a également affirmé que cet employé avait également déclaré avoir « aidé » un autre ancien combattant à accéder à l’AMM auparavant ainsi qu’à fournir un soutien aux enfants dudit ancien combattant à la suite du suicide assisté.

Le web site Net d’ACC affirme que « des professionnels de la santé mentale sont disponibles en tout temps » pour les anciens combattants (Canada.ca)

À la suite de l’appel, l’ancien combattant a d’abord tenté de se plaindre au VAC, mais comme le VAC n’a apparemment pris aucune mesure concrète en réponse, il a décidé de contacter la presse canadienne. Une fois qu’ils se sont impliqués, le VAC a rapidement promis d’enquêter sur l’affaire, a admis que l’AMM avait été discutée avec un ancien combattant de manière inappropriée, a déclaré qu’ils « avaient immédiatement pris des mesures pour remédier à la scenario et présenté des excuses au shopper », et ont publié des déclarations officielles. La déclaration du 16 août du ministre canadien des Anciens Combattants, Lawrence MacAulay, se lit comme swimsuit :

« Ce qui est arrivé à ce vétéran est totalement inacceptable. Je regrette profondément le mal causé à cet ancien combattant et à sa famille en ces temps difficiles. Cela n’aurait jamais du se produire. On m’a assuré que les mesures administratives appropriées seraient prises et j’ai demandé à mon sous-ministre de veiller à ce que cela ne se reproduise plus jamais.

Cependant, les déclarations vagues et l’inaction perçue d’ACC n’ont généralement pas été accueillies très favorablement, certains réclamant la démission du ministre MacAulay et une plus grande transparence concernant les mesures prises. Le mardi 23 août, le premier ministre Trudeau a rompu son silence sur la query en qualifiant ce qui s’est passé de “complètement inacceptable” et en déclarant qu’une enquête approfondie était en cours et que des mesures étaient prises pour s’assurer que quelque selected de similaire ne se reproduise plus jamais.

Ce serait peut-être une bonne idée pour les employés d’ACC de lire la Stratégie conjointe de prévention du suicide de leur propre ministère avant de parler aux anciens combattants à l’avenir.