La Nouvelle-Zélande cherche une suite de drones

La Nouvelle-Zélande cherche une suite de drones

Aotearoa New Zealand cherche à se procurer une gamme de systèmes et de capteurs sans pilote conformément à une demande de propositions (RFP) publiée le 31 mai. L’acquisition constitue la deuxième tranche du programme en cours Community Enabled Military (NEA), qui remanie les capacités C4 et ISR des armées néo-zélandaises.

Un avion sans pilote AeroVironment RQ-20 Puma lancé à la predominant lors de l’exercice Autonomous Warrior 2022 à l’aérodrome de Jervis Bay dans le territoire de Jervis Bay. Le NZDF exploite un nombre non divulgué de Pumas. (Le Commonwealth d’Australie)

La Nouvelle-Zélande prévoit de signer des contrats pour les différentes options, ainsi que le assist tout au lengthy de la vie, en 2023. Pour réduire les coûts, les délais d’acquisition et de développement, la Nouvelle-Zélande recherche une answer militaire prête à l’emploi (MOTS) éprouvée. Un degré élevé de factors communs avec les partenaires 5 Eyes de la Nouvelle-Zélande est également recherché

TypeAmountFixed Wing/Hybrid UAS 2-4 “ensembles” de plusieurs véhicules plus un seul
unité de formation Nano drone sans pilote30-40 avion individuelMicro drone sans pilote18-30 avion individuel Capteurs à distance30-40 systèmes individuels

Contrairement aux autres pays 5 Eyes, la Nouvelle-Zélande ne dispose pas actuellement de nombreux systèmes sans pilote. Le NZDF dispose d’un petit groupe d’UAS du groupe 1 comprenant des Pumas RQ-20 et des Nanos Black Hornet.

Le contrat de la Tranche Deux pourrait être élargi ultérieurement pour accueillir des avions de la Royal New Zealand Navy et de la Royal New Zealand Air Drive.

Un Black Hornet Nano en vol, cela peut répondre aux exigences de la Nouvelle-Zélande pour 30 à 40 Nano UAS sans pilote (FLIR)

Les trois aéronefs sans pilote recherchés dans le cadre de la tranche deux devraient avoir des expenses utiles modulaires et interchangeables, y compris des caméras, des équipements de imaginative and prescient nocturne et une variété d’autres capteurs. L’avion sera en mesure, comme décrit par la RfP, de fournir au système de gestion de fight (BMS) la “course, la vitesse, l’emplacement et l’état des cibles”.

Les plus gros drones à voilure fixe seront également équipés d’un indicateur de cible laser, leur permettant de diriger les frappes des avions alliés.