La marine française prouve sa capacité d’engagement coopératif lors d’un test en direct

La marine française prouve sa capacité d’engagement coopératif lors d’un test en direct

La Marine nationale française a, pour la première fois, prouvé qu’elle pouvait mener des engagements de missiles coopératifs. Lors d’un take a look at récent, le destroyer lance-missiles Forbin a engagé un drone cible à l’aide d’une piste radar fournie par la frégate Languedoc by way of une liaison de données. La capacité d’engagement coopératif (CEC) est considérée comme un outil essentiel pour s’engager et se défendre contre les salves massives de missiles anti-navires.

Le take a look at a eu lieu le 18 septembre et a vu le Forbin tirer un missile sol-air Aster-30 sur une cible fournie par le Languedoc by way of le système de liaison de données Hyperlink 16 de conception américaine. Le take a look at de cette capacité faisait partie de l’exercice plus giant « Gabian » qui a lieu chaque année au giant de la côte sud de la France.

Un missile Aster-30 se lance lors d’un take a look at de tir réel. (Picture reproduite avec l’aimable autorisation de UKDefenceJournal.org, auteur inconnu)

La Path générale de l’armement de la France, une organisation qui remplit un rôle qui serait la responsabilité d’agences d’approvisionnement spécifiques aux providers aux États-Unis, a joué un rôle essentiel dans le take a look at. Le centre de take a look at DGA, by way of une liaison de données, a fourni un environnement virtuel au Languedoc et à Forbin pour choisir la cible de take a look at réelle. Cela a rendu le take a look at beaucoup plus représentatif des défis auxquels sont confrontés les engagements multi-navires de cibles dans le monde réel, sans nécessiter les ressources nécessaires pour mettre de nombreux navires et aéronefs sur un champ de tir réel.

Le CEC pour la marine française est connu sous le nom de “Veille Coopérative Navale”, ou Naval Cooperative Watch en anglais. Le système fait encore l’objet d’un développement rigoureux, mais devrait donner à l’avenir aux forces de floor françaises une connaissance de la state of affairs bien supérieure à ce qu’elles ont actuellement. À ce jour, l’USN est la seule marine à déployer universellement un système de kind CEC sur ses combattants de floor, bien que l’Australie et le Japon en aient bientôt la capacité avec l’acquisition d’E-2D Superior Hawkeyes. La France achète également le E-2D, qui viendra compléter les E-2C qui volent actuellement au Charles De Gaulle.

En tant que idea, le CEC a été développé par l’USN à la fin des années 60 et au milieu des années 70 pour donner aux navires plus anciens dotés de systèmes de fight et de radars de plus en plus obsolètes la capacité de jouer un rôle dans la défense du porte-avions. En reliant les chargeurs des anciens navires aux nouveaux radars des croiseurs et des destroyers de première ligne, les systèmes obsolètes des navires d’époque des années 50 sont devenus beaucoup moins problématiques. Lorsque la France déploiera le VCN à l’avenir, elle sera la seule marine européenne à avoir mis en place un tel système.